Bed Time Stories

T’avais raison, ta chatte c’est la plus belle de France. T’as beau parler de sexe toute la journée, montrer ton cul en ligne, ton clit il est renté, muré entre tes deux lèvres, tout caché, timide. Même sans poils t’es pudique. Je dois rentrer tout mon pif pour goûter ton foutre. Sentir les battements de ton cœur, te retenir si tu cries. T’es dur à v’nir d’en bas. Avec la langue. T’es pas une nana si facile. La dernière fois que je suis venu, quand je suis rentré, j’ai pas lavé mon pouce. Ça t’fait rire. Nan j’l’ai pas sucé avant de dormir. Mais t’as l’idée. J’aime ton odeur. Ca sent la sueur, et la fille. J’te trouve divine. Tu vois tout ça, j’le dis pas d’habitude. Les je t’aime emboîtés, tout habillés, à s’frotter les reins comme des ados. Les histoires avant de dormir. Parler d’moi. Raconter ce que j’ai mis dans mon dernier manuscrit. Tout ça je ne le fais pas. Mes copines j’leur invente des noms. Tellement que dans la vraie vie après elles s’appellent comme ça. J’crois qu’en la fiction. Je sais. Toi t’aime pas ça. Toi tu te racontes que t’es qu’une pute. Tu vis pour une bonne histoire. Moi c’est dans mes histoires que je vis. Elles me concernent pas. Ou plutôt faut deviner. Faut m’trouver entre les lignes. Faut lire jusqu’au bout. Tu vois toi et moi, en fait, on est pas si différents. Tu caches ton cœur au creux de ton sexe, moi mon écran c’est mots. Le jour où tu m’as filé ta carte, j’ai cru que c’était pour un boulot. Que t’aimais comment j’parlais, comment j’écris. Je ne me suis jamais dit que tu me trouvais beau. J’ai parlé de toi à ma mère après notre premier rendez-vous. Celui ou j’t’ai dis pour de mes mains. Comment elles suent. Ça aussi j’en avais jamais parlé. Ecarte. T’es belle. T’en as jamais assez. J’savais pas qu’on pouvait faire ça avec sa bouche. Ma meilleure pipe, c’était avec une ex. Elle suçait pas. Puis quand j’l’ai quitté elle a tout donné. Quoi tu veux être ma meilleure pipe ? Faut que j’te quitte, alors ? J’peux pas me maquer. Pas maintenant. Pas tout de suite. Tu m’as rien demandé, mais c’est ton corps qui me le dit. Ton corps incurvé de spasmes, recouvert de sperme et traversé d’éclipses. Quand tu pars, j’pourrais m’finir. J’ai vu ce que c’est la beauté. J’ai joui jusqu’au cerveau. J’t’ai dit que c’que j’aimais chez toi c’est ton intelligence ? Quand mon gland remplit tout ton trou, que tu m’attrapes les bras, que ta chatte aspire ma bite jusqu’à ce qu’elle puisse plus sortir. Quand tu m’circlus de toute ta mouille, que ça glisse en clapotis sournois, et que tes râles m’empêchent de fermer les yeux, parce que j’veux tout saisir. Tout c’que tu vis, quand tu lâches prise. J’t’ai dit que c’que j’aimais chez toi c’était ton lâcher prise ? Bon il te faut un god pour le clit. Ton clit tu l’as pas encore offert, mais faut bien garder une part d’inaccessible. Si j’te prends trop langoureusement, tu pourrais fuir. T’as raison. C’est faux. C’est moi qui résiste. Mais si j’te vois trop de fois dans la semaine, j’pourrais souffrir. T’as l’air d’une fille qui brise les cœurs. Celle qui fait peur aux hommes, celle qui quitte. Moi j’peux tomber amoureux de toi en te voyant te brosser les dents ou en te léchant le trou de balle. J’bande à chaque fois que j’te parle. A force, j’ai mal à la bite.

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